Paris nous appartient / 2014
Auteurs : Olivier Coulon-Jablonka et Eve Gollac
D'après "La vie parisienne" de Jacques Offenbach - Textes de Victor Hugo de Prosper-Olivier Lissagara - Etudes documentaires du Grand Paris.
Mise en scène : Olivier Coulon-Jablonka
Conception de costumes, aux lignes claires et reconnaissables, afin de créer un lien visuel entre les différentes époques.
Ils évoquent les personnages d’Offenbach ou du Grand Paris, permettant ainsi de passer du Paris du XIXe siècle au Paris contemporain de 2014.
| Année | Dates | Lieu |
|---|---|---|
| 2014 | 12 au 15 janvier | Création au Théâtre La Vignette – Montpellier |
| 2014 | 08 au 23 février | Théâtre de l’Échangeur – Bagnolet |
| 2014 | 20 au 22 mars | Théâtre de Sartrouville et des Yvelines – Centre Dramatique National |
| 2014 | 27 au 29 mars | Comédie de Béthune – Centre Dramatique National |
| 2014 | 07 au 08 octobre | Le Parvis – Scène Nationale de Tarbes |
| 2015 | 08 au 09 avril | Le Trident – Scène Nationale de Cherbourg |
| 2015 | – | Théâtre de la Butte – Octeville |
| 2015 | Été 2015 | Tournée CCAS |
| 2016 | 10 au 20 mars | Festival des Illusions – Théâtre Sylvia Monfort |
Autres pages en lien avec cette œuvre
Emmanuelle Bouchez – Télérama
Il faut bien du talent pour mêler des éléments aussi disparates que les chansons d’Offenbach tirées de son opérette « La Vie parisienne » (1866), une réflexion sur le régime du second Empire coincé entre deux révolutions réprimées dans le sang (1848 et la Commune), une description de la croisade immobilière du baron Haussmann et la vie des Parisiens d’aujourd’hui. Si le projet du Grand Paris vous est indéchiffrable, alors il faut courir à ce Paris nous appartient(…) Vous en ressortirez le cerveau au travail, tout en ayant bien ri.
Marie Josée Sirach – L’Humanité
C’est osé, c’est gonflé que de s’emparer d’un sujet politique aussi épineux dans une adresse au public qui fait appel à son intelligence. On rit beaucoup, on applaudit le jeu des acteurs qui poussent l’opérette sans être chanteurs pour autant.
Catherine Tricot – Regards.fr
La mise en scène est d’une efficacité tranchante, les acteurs (tous bons) se glissent dans les différents rôles grâce à des enchainements situation plein de drôlerie et de significations. On s’amuse beaucoup dans ce spectacle. Les dents grincent aussi. (…) Un régal.
Marie Plantin – La critique du Pariscope
Comme à l’accoutumée le mix des matériaux est réalisé avec brio. (…) Paris nous appartient ressemble d’une certaine façon, à un tour de force théâtral d’une forme inédite, qui dresse un portrait mouvant, à travers les siècles, d’une capitale fantasmatique avant tout, propice à l’inspiration artistique, un territoire urbain vivant façonné par les nombreuses révolutions passées et … futures ?